Passons sur l’histoire de la ville : y a Wikipédia pour ça, juste ici.
Passons aussi sur la géographie, démographie et tout le toutim.
Hong-Kong n’est pas une ville lambda. C’est une région “spéciale”, rétrocédée en grande pompe en 1997. Mais on se demande bien ce qu’ils ont récupéré aux britanniques les chinois parce que : monnaie différente, conduite à gauche et pas besoin de visa lorsque l’on est français notamment, juste un passeport valide et le droit de rester pour faire du tourisme pendant 30 jours maxi. Bref, Hong-Kong c’est la chine mais pas tout à fait.
C’est aussi un plus vaste territoire avec du relief, de la jungle, des villages fortifiés ou pas, des plages, des îles. Bref, une fois la cartographie grosso modo dans la tête pour se repérer et passé le préjugé Hong-Kong = monstre urbain, on découvre petit à petit l’intérêt de cette ville-territoire, sa diversité, ses faces cachées et l’empreinte qu’elle laisse.
La “ville” telle qu’on se l’imagine se concentre d’une part sur Hong-Kong Island avec les quartiers de Central et Wan Chai (entre autres) au nord et d’autres contrées plus au sud que l’on a pas explorées, et d’autre part sur Kowloon situé juste en face, sur le “continent”.
Et puis, ce n’est pas tout. Hong-Kong il y a les “Nouveaux territoires”, partie un peu plus nébuleuse. Un peu comme la conquête de l’Ouest !
On pensait être pris au piège dans une ville verticale symbole d’un libéralisme que l’on connaît déjà trop bien. Il y a bien cette part de mythe mais la modernité des grandes villes, ce n’est pas ce qu’on est venus chercher jusqu’en Chine.
Mais faut bien l’avouer : on a kiffé Hong-Kong !